♦ Gallions : 5673 ♦ Date d'inscription : 17/09/2014 ♦ Multicomptes : Minerva McGonagall ♦ Caracteristique : Membre de l'Ordre du Phénix
Sujet: Re: PISTE DE DANSE - Lisbeth & Ludovic Dim 6 Sep - 23:12
Ça s'en va et ça reviens
Tandis que sa cavalière semblait avoir trouvé un nouveau sujet de conversation, Ludovic attendait une occasion d'en placer une, observant tour à tour la métamorphomage et le bibliothécaire. Et c'était lui qu'on traitait de sans-gêne ? Bon, d'accord, quelqu'un dans sa situation actuelle n'était sans doute pas le mieux placé pour critiquer, mais, pour sa défense, ce n'était pas lui qui s'était jeté sur la bouche d'Oswin alors qu'ils étaient en train de danser. Certes, il l'avait invité alors qu'elle était déjà accompagnée et avait "oublié" d'envoyer un hibou à Lisbeth, mais là n'était pas la question.
— Ça va ? lança-t-il d'un ton cassant, je ne vous dérange pas ?
Heureusement - si l'ont pouvait dire - il ne resta pas ignoré très longtemps et reçu bientôt une remarque des plus primaires de la part du bibliothécaire qui le bouscula d'un coup d'épaule avant de s'en aller vers le buffet.
— Parce que vous vous trouvez plus mature peut-être ? répliqua le français assez fort pour être certain que son collègue l'entende. Tu le connais d'où ? demanda-t-il ensuite en tournant la tête vers Lisbeth, un sourcil froncé. Bah, aucune importance, grommela-t-il presque aussitôt en se rappelant à qui la faute si elle avait choisit ce bouffeur de cookies comme cavalier. Je vais chercher à boire, tu veux que je te ramène quelque chose ? poursuivit-il en esquissant un mouvement pour quitter la piste de danse. Mais tout de même, juste par curiosité, tu le connais d'où ?
FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.
Quitte la piste de danse après le post de Lisbeth
Lisbeth Richards
♦ Gallions : 3806 ♦ Date d'inscription : 23/03/2014 ♦ Multicomptes : Myria G. & Andréa O. & Siobhàn J. ♦ Caracteristique : Luxure de la Confrérie
Sujet: Re: PISTE DE DANSE - Lisbeth & Ludovic Mar 8 Sep - 17:27
Bon sang, mais quelle mouche l'avait piqué ? Ça devait se voir sur son visage, elle était choquée. Une minute, il était tout miel, la suivant il l'insultait presque. Enfin, pas vraiment, mais le ton et l'attitude était aussi vexants. Cadeau ? Quel cadeau ? Cela lui prit une seconde pour qu'elle réalise qu'il parlait sans doute de ce qu'elle lui avait apporté pour compenser le fait qu'elle l'empêchait d'emmener quelqu'un d'autre. Des choses de chez Honeydukes, en quantité... considérable. Et il voulait qu'elle le reprenne ? Pendant ce temps, elle sentait la tension qui montait et elle ne pouvait s'empêcher de penser que ça n'avait rien à voir avec elle. C'était leur excuse pour être désagréables l'un avec l'autre pour le moment. Puis Tony adressa la parole à Ludo et ses yeux s’écarquillèrent un peu. Elle ne savait pas ce qu'il lui prenait, à Hendricks. Si elle n'avait pas décidé d'être une lady pour la soirée, elle l'aurait déjà giflé. La situation avait dégénéré en une poignée de secondes et elle ne l'avait vraiment pas vu venir.
Le bibliothécaire était finalement parti, mais la tension ne l'avait pas suivi. Lors de la confrontation, ses cheveux avaient perdu un peu de leur noirceur, tirant un peu plus vers le gris. Ludo se tourna vers elle, alors qu'elle tentait de chercher quoi dire pour apaiser la situation, et lui demanda d'où elle le connaissait. Elle ouvrit la bouche pour répondre et il balayait déjà le sujet, avant de lui proposer d'aller lui chercher à boire. Elle n'était pas contre un verre, mais il était peut-être mieux qu'il se calme un peu de son côté.
« Tu n'es pas obligé. J'avais envie de te voir, mais je ne vais pas non plus t'empêcher de voir tes collègues et amis. Et c'est sans doute mieux si je rentre pas trop tard de toute façon. »
Il reposa la question "par curiosité" et elle sourit en haussant les épaules, montrant que ce n'était rien d'important. Elle leva les yeux vers lui, s'égarant à peine un instant sur les dessins le long de sa nuque, qu'elle n'aurait pas refusé de tracer avec sa langue, avant de répondre avec un sourire :
« Un ami commun me l'a présenté, il y a quelques années. C'était ma meilleure chance de profiter de ta compagnie. Ça aurait été vraiment mal élevé de lancé des petits cailloux à la fenêtre de la grande salle. »