Luka Van H' 
♦ Gallions : 3687
♦ Date d'inscription : 02/03/2014
♦ Multicomptes : SAR — EJE — KAS — AH — JLW — JAH
♦ Caracteristique : Prefete en Chef & Gardien
|  Sujet: (luka) - this is what I learn so far, 'v'rything's grey.  Mar 4 Mar - 9:56 | |
|  ︎ « Luka Van H' » Voila... Voila, c'est qui je suis. En fait c'est même pas mon vrai nom, mais bon... J'ai présentement 17 ans et je suis en 7eme année à Poudlard Je suis né(e) le 9 Juin 1968 à Karlstäd en Suède ; je suppose qu'on peut donc dire que je suis d'origine Suèdoise. Mon sang est malheureusement très pur et on connait ma famille parce que C'est une famille de connard au sang pur, très connu dans la péninsule scandinave. Leur petit slogan c'est " Ne varietur "; Afin qu'il n'en soit rien changé et ils ont failli me le greffer sur la peau. Au passage, papa est le ministre de la magie... ︎ Si je dois vous parler un peu de moi je dirais que je suis attirée par les femmes et même que je suis célibataire, amoureuse, va savoir. Sinon il se passe un truc hallucinant, on me dit que je ressemble à alycia debnam carrey; et c'est à moi même que je dois tout ça. ︎ je suis le reglement Enfin ! C'est ce qu'on dit ! Et sinon, moi c'est Luka et j'ai 26 . J'ai connu SW' par Salem et j'ai quelques commentaires. Les voilaaaa ! Salem m'a volé ma place |  |
La Biche - Pour la pureté de la bête. Elle represente un animal gentil, doux, fragile. Ce que Luka aurait pu être en somme.
Le Puma - Parce qu'il est l'un des félins les plus parfaits, et qu'il symbolise un être puissant qui a besoin de solitude pour ne pas se faire exploiter; pour ne pas causer de soucis.
Le Corbeau. - Parce qu'il s'agit du patronus de la femme avec la quelle elle est en osmose; qui l'a sauvée. Et malgré leurs disputes elles s'apprécient enormement. | Luka. Regarde la bas, contre un des murs, adossée, les cheveux en pagaille, la cravate défaite, et le regard dans le vague; elle tente de glisser un stylo entre ses lèvres avec la manie de ceux qui fument souvent. Taille moyenne, assez fine, elle tape du pied sur le mur, dans une rythmique musicale et semble psalmodier quelque chose dans une langue différente. Un mouvement de tête revele des yeux gris pale, et tandis qu’elle arrange ses lunettes de soleil qui se font la malle, et passe la main dans ses cheveux pour les dociliser vaguement, elle revele une sorte de X tatoué à l’interieur de son poignet, sous les bracelets de forces, les bracelets de cuirs, les quelques lacets; le cordon arc-en-ciel, tous ces trucs qui restent accrochés au bout de ses bras. Le bas de son visage n’est que trés peu visible, caché par une écharpe dont la couleur semble changer chaque jour ( ou bien peut être qu’elle change d’écharpe, c’est une bonne hypothèse aussi); mais elle laisse échapper une sorte de sourire, mi narquois - mi sarcastique; tandis qu’elle lache le stylo; le rattrapant d’un geste habile de la main gauche. Sa robe de sorcier est posée de maniere nonchalante sur un t-shirt blanc-beige, moulant son torse presque viril, et l’absence d’une poitrine trop prononcée. Une ceinture en tissus, serre son jean patte d’eph, sur ses hanches plutôt fines, et ses pieds sont couverts d’une paire de converses, qui elle aussi à tendance à changer chaque jour.
Luka c’est une artiste. La description pourrait s’arrêter la. Mais ça ne sera pas le cas, ça ne serait pas trés drôle sinon, probablement. Quelques adjectifs peuvent se jeter au gré du vent quand on parle d’elle. Ambigue. … Plutot Paradoxale. Elle a été élevée dans une famille qui aurait du lui apprendre la haine et la violence, et elle a appris à aimer les livres, a aimer la liberté, et à aimer les mots. Elle a passé sa jeunesse à écrire et a rever des moments où elle pouvait fuir. Luka. Elle écrit quand elle trouve quelques minutes, et elle assimile tout à ce qui pourrait être une oeuvre d’art.
Mais Luka elle ment ou du moins elle se ment. Elle se figure qu’elle ne compte pas. Qu’elle pourrait partir sans poser de problemes. Elle a un coté égoïste qu’elle ne realise pas, derrière toute sa générosité. Luka, elle mettrait sa main dans les flammes, pour sauver quelqu’un qu’elle ne connait pas, et elle irait dans les flammes, pour en finir avec sa vie. Elle a un coté suicidaire. ou du moins désabusé. Et a cette maturité de ces enfants grandis trop vite. Elle souffre peut être, du moins c’est ce qu’il semble, mais ça lui développe un coté masochiste qui ressort malheureusement trop souvent. Souffrir pour se prouver que l’on vit Ca reste stupide. Elle ne l’est pourtant pas. Car la Luka est intelligente ; mure, cultivée, dotée d’un esprit d’analyse et d’une trés grande imagination. Elle est comme beaucoup de gens comme elle, trop sensible aussi. Et trouve le monde qui l’entoure si vain, si désespérant qu’elle n’arrive pas à y trouver sa place et se fend souvent de sarcasmes. A ces jolis termes on pourrait également rajouter bornée et tétue. Determinée dirons nous.
Le portrait n’est pourtant pas tellement noir. Luka c’est une main tendue ; c’est une fille de 17 ans, qui n’hésitera pas à aider son prochain, à se dresser contre les injustices; tout en proclamant une neutralité certaine. Un petit complexe aussi : Celui du super héros. N’en parlons peut être pas trop ? Mais sauver la veuve et l’orphelin, en oubliant sa condition de gamine de 17 ans, c’est quelque chose qu’elle a tendance à faire souvent.
Que rajouter à tout cela ? C’est une fille au sang pur qui ne s’en soucie pas. Parents partisans d’une pureté du sang; arrogants - elle l’est d’ailleurs par moments; elle est intelligente, elle le sait, pourquoi s’en cacher ? Ou bien peut être n’est ce qu’une fausse carapace ? - elle, elle refuse la pureté presumée; elle refuse les injustices, et se trouve trop bien pour devenir comme eux. Elle en a changé de nom. Et cependant…. Elle refuse aussi d’embrasser le « bon » coté; pour des raisons personnelles.
‣ C’est Luka. C’est tout.
| ‣ Quelle boisson préférez vous ? - Un café. ( Avec une dose de martini dedans. ) - ‣ Quel est votre animal preferé ? - Un rat ( J’aurais dis un corbeau mais soit. Donc, un rat. Je peux en avoir un ? ) ‣ Matiere préférée - Sortilege ( Je prefere l’Etude des Runes mais soit. Matiere théorique o/ ) ‣ Pendant votre temps libre? - Vous pratiquez un art ( Sois fan toi qui me lis ! J’écris  ) ‣Que pensez vous du ministère de la magie ? - Je m’en fous j’ai autre chose à penser. ( Franchement…. Mon père est le ministre de la magie... ) ‣ Dans quelle maison vous aimeriez aller ? Devine …. ‣Dans quelle maison vous n’aimeriez pas aller ?
Poufsouffle. Le jaune c’est pour les cocu. ‣Plus tard vous voulez être ? - Enseignant ( De Runes. Je detronerais l’autre folle. ) ‣ Etes vous sociable ? - Je suis demandé ‣ Vous assistez à une agression, que faites vous ? - Je vais aider. ‣Que pensez vous du statut de sang ? - Les sang purs sont tous débiles… ‣ Pendant les vacances vous… ? - Reflechissez a votre avenir ( C’est pas comme si je pouvais faire des petits boulots, ou faire du sport c’est la loose. Et puis ma mère a peut être des jupes mais si je passe dessous elle aura plus de jambes, j’ai appris un joli sort. ) |
Juin 1958, un hôpital magique au Sud de Karlstäd, Suède. L’enfant nait sans un cri, la mère est hysterique, le père lisse ses cheveux et esquisse un sourire discret, et après quelques sorts, la famille ne tarde pas à quitter l’établissement. L’enfant, enroulé dans une couverture rose, ne poussera pas vraiment de pleurs, si ce n’est le petit cri qui signifiera qu’il vit. La naissance est déjà étrange, mais Lisbeth Vargensön sera le fleuron de sa famille. L’aristocratie sorcière scandinave deviendra son berceau, elle aura tout ce qu’elle désire, et partagera les vices et les travers de ses parents. Ils sont heureux; richissimes, et prêts à toutes les folies pour elle. Enfant unique pour l’heur,e elle grandira dans le respect de la magie noire, dans la culture du sang-pur, de la race supérieure. C’est du moins ce qui est prévu. Bien entendu, rien ne se passera de la sorte, l’histoire serait fort peu intéressante sinon.
« Fais le. Maintenant. Diffindo. » « Diffin…do. » « Plus fort. Avec plus d’intensité dans la voix. DIFFINDO. » « Diffindo »
Longs cheveux noirs, yeux gris, la fille vêtue de noir remue sa baguette mollement en direction de la jeune femme. Le sort ne part pas, elle n’arrive pas à le lancer. Et le diffindo, qui brise le silence est finalement tourné dans sa direction. Sa mère est décue. Son dos s’orne d’une nouvelle marque, et sans mot dire elle tourne les talons, retournant vers l’un des coins secrets du manoir.
Son éducation c’est sa mère et sa tante, qui la lui feront a la maison, avant son entrée à Durmstrang, c’est la bas qu’elle ira, comme ses cousines avant elle, comme ses parents également; Poudlard est une école pour faible, et si l’une de ses cousines y est c’est bien un déshonneur pour sa famille; on ne parlera d’’ailleurs plus vraiment d’elle. Elle s’appelait Thèo. Elle était la seule qui comptait pour Lisbeth. Autre histoire. Changement de page peut être.
« Vous ne serez jamais qu’une déception Vargenson. » « Et bien alors, je suppose que nous sommes deux; vous voulez que je fasse un club, je pourrais vous fabriquer une carte de membre. »
L’uniforme rouge et noir de Durmstrang, lui colle contre la peau, et sa cravate dénouée se mele à ses cheveux humides; il neige, et elle n’a pas pris le temps de se sécher avant d’arriver en retard au cours de Magie Noire d’où elle se fera renvoyer quelques minutes plus tard. Le sourire ne part pas de son visage, et le chaton qu’elle tient cachée dans son giron se met à miauler un peu. Le coup part; le sort lui atteint la joue, elle claque la porte.
Durmstrang ne sera pas spécialement une bonne experience; mais elle y apprendra tout de même les rudiments magiques; y découvrira une bibliothèque des plus riches, se perfectionnera dans des sorts qui ne sont pas forcement accessible au public, et connaitra le bonheur d’être l’un des plus brillants éléments que l’école ait connu. En théorie. La pratique c’est autre chose. Elle refuse de jeter des sorts qui soient trop néfastes, sur des cibles humaines innocents ; elle refuse de faire du mal à qui que ce soit, et nie tous les argumentaires anti moldus. Sa place n’est pas vraiment la bas; et elle n’y sera jamais.
Mars 1972 ; âgée de 14 Ans, la jeune Lisbeth, une écharpe nouée autour de son cou, les cheveux en desordres, un sac en bandoulière sur le dos, traine dans les rues d’une grande capitale d’Europe; coté moldu de la chose, elle ignore où elle est, elle a transplanée avant l’age sanas idée du lieu où elle pourrait atterir. Mais elle y est. Le manoir familial n’est plus qu’un lointain souvenir, et la brulure sur sa main restera à jamais douloureuse. Agnetha Vargensön n’est pas quelqu’un contre qui l’on se dresse, et Lisbeth, qui oubliera ce nom avec les jours qui passent, n’est pas une exception à la regle.
Elle ne manquera à personne; ses parents la rechercheront, et puis ils cesseront de le faire publiquement ; père a d’autres choses à faire, les mages noirs sont partout, son ministere risque de chavirer; mère d’autres hommes à fouetter, et ce n’est pas vraiment comme si elle avait des amies. Seule, elle promène de rues en rues et de villes en villes… A 14 ans au fond, on ne fugue jamais serieusement, et pourtant jamais elle ne remettra les pieds chez elle.
C’est le mois de juin, les prémices de l’été, Lisbeth a 15 ans a peine, et seule sur une plage elle se fait une fête; il y’a de l’alcool, un feu de camps, et comme dans un film au ralenti, elle brule son identité; sa baguette, ses cheveux. Les flammes la fascinent, malgré le souvenir qu’elle en garde sur le bras, et pour un peu elle y passerait la main. Ensuite ? Les souvenirs s’en vont, elle ne se souvient que de trés peu de choses, le sort a fusé sans qu’elle n’y pense vraiment. Oubliettes. Pour le malheur ? Pour… Et puis c’est la chute. Le sort ne marchera pas trop, au lieu d’oublier la douleur de ses 15 années de vie, elle n’oubliera que cette soirée la; se souviendra du feu et de la chute, oubliera tout le reste.
« Ici. Tu es en sécurité. Tu le sera toujours. »
Quand elle ouvre les yeux quelques jours, quelques heures plus tard, elle ne sait pas où elle est. La chambre est blanche, avec des vinyles partout, et de vieux posters de films moldus, il y’a une gutiare non loin, et une femme au sourire étrange la regarde. La conversation fuse. Repliques enivrées dans des parfums de sarcasmes, elle s’apprêterait presque à croire au paradis, si l’odeur de vodka n’était pas si forte. Alice. C’est quelqu’un qui la comprend, et même si ce n’est pas facile pour l’enfant perdu qu’elle est, elle s’y fait. Ca n’a pas grand chose de légal, mais des papiers se font, des mains sont serrées, des relations y jouent; elle trouve un tuteur, un mentor, une amie. Une femme prête à sacrifier sa liberté pour un sourire dans ses yeux gris. Mere. Soeur. Amante. Premier amour aussi; Lisbeth, qui ne voudra plus jamais porter ce nom la, apprend à s’ouvrir à quelqu’un et conte l’histoire de sa vie.
« Je pourrais devenir écrivain comme toi. » « En réalité, tu vaux mieux. Mais ça va, je ne suis pas jalouse. Alors, tu va signer comment ? »
La femme lui ré-apprend à vivre, soigne sa main brulée avec une vieille magie, et lui redonne le gout de vivre un peu. Elle voudrait s’appeller Alice, mais c’est le nom de son amie, et ce sera Luka qu’elle choisira, par un concours de circonstance, par une incomprehension. Le nom est masculin, mais il lui plait, elle le gardera. Luka Van H’. Des papiers sont signés, une nouvelle identité aussi. Et elle réapprend tout. La magie lui arrive sous un jour nouveau, plus de mauvais sorts, des runes de l’histoire de la magie, des manieres qui lui plaisent plus que de raison. Comme son mentor, elle se fascine pour l’ancienne magie, et quand vient septembre elle cede, autorisant Alice à l’inscrire à Poudlard. Le transfert est rude, mais le choixpeau l’envoi à Serdaigle, elle s’y sentira bien.
En cours, il n'y'a heureusement pas qu'en Runes qu'elle soit douée... Histoire de la magie, Sortileges, Metamorphoses,... Elle parle plusieurs langues et tente d’oublier la suède et ses racines en n’ayant recours au Suedois qu’en cas d’extreme rage. Calme. Ca n’arrive jamais. Sauf avec cette femme qui l’a receuillie un jour. Elles se comprennent, se complètent, s’aiment aussi, dans une relation fusionnelle et destructrice. C’est ce qu’elle pourrait devenir mais qu’elle ne veut pas être. Alors… Luka donne tout. Son cœur, sa confiance, ses sanglots. Mais la gamine trop usée d’oublier ses sentiments n’est jamais loin. Elle a du succès en cours, elle est plutôt charmante, quelques fans lui courent après. C’est les débuts de la jalousie. Le cœur humain n’est qu’un organe que l’on muscle. Luka ne s’attachera pas, pour le moment elle ne sait pas faire.
Les mois passent encore. Le brouillard de l’indecision, cède place à des conflits, mais tout continue à se résoudre entre deux ébats. Entre deux câlins. La vie que Luka n’est pas des plus saines, mais c’est SA vie, et elle entend bien la continuer sans que personne ne la juge. Son temps passe à écrire. A étudier aussi. Ou a jouer les héros pour des raisons stupides.
« Jolie insigne. »
A Poudlard elle se sent presque chez elle, et tant pis si ce qu’on raconte est vrai, Voldemort devient puissant, des mangemorts s’organisent, le monde de la magie risque d’avoir mal. Et il n’y’a pas que ça, il y’a la Lune pourpre et la Confrérie. Elle sait des choses, elle ne dit cependant rien. Elle est à Poudalrd pour étudier et pas pour participer à un effort de guerre. Et tandis que la nouvelle année commence, elle epingle une insigne sur son uniforme, et tente de continuer à vivre, ce n’est pas des plus facile, pas quand il se passe trop de choses dans sa tête. Mais soit… On fait avec. On n’a que 17 ans après tout.
Dernière édition par Luka Van H' le Lun 6 Avr - 0:44, édité 6 fois |
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